BRASSENS (Georges) Manuscrit autographe pour la chanson Les Lilas. 2 p. sur un f. pet. in-4, papier quadrillé.
Fragment d'étude pour la chanson les Lilas, figurant sur l'album Oncle Archibald, gravé en 1957. Le feuillet présente une version très primitive de la chanson, avec beaucoup de vers qui n'ont pas été retenus et d'autres agencés très différemment dans la version définitive. Ainsi, notre texte s'ouvre par ces vers " Si ma chanson chante triste / c'est que ma mie n'est plus là (donner le la) / je l'ai perdu [sic] par ma faute / à la porte des Lilas ", qui deviendront les deux derniers vers : " Si ma chanson chante triste / C'est que l'amour n'est plus là. " Au verso, Brassens a posé des morceaux de vers afin d'établir les rimes, indiquant notamment " 1er et dernier " en regard de quatre d'entre eux. Y figurent " donner le la ", qui deviendra " La fauvette des dimanches, / Cell' qui me donnait le la ", " brune, rousse chocolat " qui disparaîtra complètement, ou " triste " qui sera conservé. En tête du recto figurent 7 lignes d'une encre différente, qui semblent correspondre à des recherches autour d'une autre chanson. Les deux premières lignes montrent un mélange de mots et d'idées : " La belle dame de mon temps jadis, / vous le joli flocon de mes neiges d'antan ", qui seront repris dans deux chansons différentes, Le Moyenâgeux (" neiges d'antan ", voir 231) et la Ballade des dames du temps jadis.
Estimation 1 600 - 2 000 €
Sold 5,850 € * Results are displayed including buyer’s fees and taxes. They are generated automatically and can be modified.
Lot 221
BRASSENS (Georges) Manuscrit autographe pour la chanson Les Lilas.
BRASSENS (Georges) Manuscrit autographe pour la chanson Les Lilas. 2 p. sur un f. pet. in-4, papier quadrillé.
Fragment d'étude pour la chanson les Lilas, figurant sur l'album Oncle Archibald, gravé en 1957. Le feuillet présente une version très primitive de la chanson, avec beaucoup de vers qui n'ont pas été retenus et d'autres agencés très différemment dans la version définitive. Ainsi, notre texte s'ouvre par ces vers " Si ma chanson chante triste / c'est que ma mie n'est plus là (donner le la) / je l'ai perdu [sic] par ma faute / à la porte des Lilas ", qui deviendront les deux derniers vers : " Si ma chanson chante triste / C'est que l'amour n'est plus là. " Au verso, Brassens a posé des morceaux de vers afin d'établir les rimes, indiquant notamment " 1er et dernier " en regard de quatre d'entre eux. Y figurent " donner le la ", qui deviendra " La fauvette des dimanches, / Cell' qui me donnait le la ", " brune, rousse chocolat " qui disparaîtra complètement, ou " triste " qui sera conservé. En tête du recto figurent 7 lignes d'une encre différente, qui semblent correspondre à des recherches autour d'une autre chanson. Les deux premières lignes montrent un mélange de mots et d'idées : " La belle dame de mon temps jadis, / vous le joli flocon de mes neiges d'antan ", qui seront repris dans deux chansons différentes, Le Moyenâgeux (" neiges d'antan ", voir 231) et la Ballade des dames du temps jadis.
Estimation 1 600 - 2 000 €
Sold 5,850 € * Results are displayed including buyer’s fees and taxes. They are generated automatically and can be modified.