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COMMODE D'EPOQUE REGENCE En vernis européen or sur fond noir, ornementation de bronze ciselé et doré, la façade ouvrant par quatre tiroirs sur deux rangs, à décor de chinoiseries, les montants arrondis surmontés de têtes d'homme barbu, reposant sur des pieds cambrés agrémentés de sabots en bronze terminés en enroulement ; restaurations au décor, les sabots probablement associés Hauteur : 83 cm. (32 1/2 in.), Largeur : 130 cm. (51 1/2 in.), Profondeur : 67,5 cm. (26 1/2 in.)
A REGENCE ORMOLU-MOUNTED JAPANNED COMMODE
Provenance : Acquise auprès de la galerie Jacques Levy, à Paris, le 25 février 1975.
Le décor de vernis à l'imitation de la laque d'Extrême Orient se répand en Europe à la fin du XVIIème siècle, en même temps qu'apparaissent les premiers ouvrages sur cette technique, notamment A Treatise of Japanning par les anglo-saxons John Stalker et George Parker, paru en 1688. Peu d'exemples français subsistent de cette période. Citons un clavecin conservé au Musée de la Musique à Paris, très proche d'un cabinet conservé au Rijksmuseum à Amsterdam, probablement de la même main. Au début du XVIIIème siècle le goût pour les chinoiseries se propage. Les œuvres en vernis, se substituant à celles extrêmement précieuses garnies de laque du Japon ou de la Chine, permettent alors de répondre à la demande. Les frères Martin, dont le nom est communément associé au œuvres ornées de vernis, diffusent cette technique. En 1730, sont recensés chez Guillaume Martin des objets " verni en relief ", ou en " relief bel or ", termes évocateurs du décor que présente notre commode, en léger relief, conjuguant ici chinoiseries et rinceaux de feuillage à la manière occidentale.
Estimation 20 000 - 30 000 €
Vendu 20 784 € * Les résultats sont affichés frais acheteur et taxes compris. Ils sont générés automatiquement et peuvent subir des modifications.
COMMODE D'EPOQUE REGENCE En vernis européen or sur fond noir, ornementation de bronze ciselé et doré, la façade ouvrant par quatre tiroirs sur deux rangs, à décor de chinoiseries, les montants arrondis surmontés de têtes d'homme barbu, reposant sur des pieds cambrés agrémentés de sabots en bronze terminés en enroulement ; restaurations au décor, les sabots probablement associés Hauteur : 83 cm. (32 1/2 in.), Largeur : 130 cm. (51 1/2 in.), Profondeur : 67,5 cm. (26 1/2 in.)
A REGENCE ORMOLU-MOUNTED JAPANNED COMMODE
Provenance : Acquise auprès de la galerie Jacques Levy, à Paris, le 25 février 1975.
Le décor de vernis à l'imitation de la laque d'Extrême Orient se répand en Europe à la fin du XVIIème siècle, en même temps qu'apparaissent les premiers ouvrages sur cette technique, notamment A Treatise of Japanning par les anglo-saxons John Stalker et George Parker, paru en 1688. Peu d'exemples français subsistent de cette période. Citons un clavecin conservé au Musée de la Musique à Paris, très proche d'un cabinet conservé au Rijksmuseum à Amsterdam, probablement de la même main. Au début du XVIIIème siècle le goût pour les chinoiseries se propage. Les œuvres en vernis, se substituant à celles extrêmement précieuses garnies de laque du Japon ou de la Chine, permettent alors de répondre à la demande. Les frères Martin, dont le nom est communément associé au œuvres ornées de vernis, diffusent cette technique. En 1730, sont recensés chez Guillaume Martin des objets " verni en relief ", ou en " relief bel or ", termes évocateurs du décor que présente notre commode, en léger relief, conjuguant ici chinoiseries et rinceaux de feuillage à la manière occidentale.
Estimation 20 000 - 30 000 €
Vendu 20 784 € * Les résultats sont affichés frais acheteur et taxes compris. Ils sont générés automatiquement et peuvent subir des modifications.