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BRASSENS (Georges) Manuscrit autographe pour la chanson Le Fossoyeur. 3 strophes et deux lignes sur un f. pet. in-4, au verso d'une facture des spiritueux JAC
Manuscrit à l'encre verte pour la chanson le Fossoyeur, figurant sur le premier 33 tours de Brassens, la Mauvaise réputation, sorti 1953 ou 1954. Elle avait été gravée en 1953 sur le 78 tours publié par Plydor qui reçut le Grand Prix du disque 1954 décerné par l'Académie Charles-Cros. Sur la face B de ce même disque figure Le Parapluie, chanson qui fut utilisée par le cinéaste Jacques Becker, pour son film, Rue de l'Estrapade. Le document offre les deux premières strophes en version définitive, et une troisième non retenue (les strophes II et III sont numérotées) : " Et comm' je sifflotte un petit air / En faisant aux morts leur lit de terr' / On suppos' que je parviens / À prendre la mort comme ell' vient ". Il finit par l'esquisse d'une variante de ce couplet : " Tout en achevant les lits de terre / Je chante ". Des marques au crayon indiquent des césures au sein des vers. On trouve dans cette chanson deux thèmes qui courront tout au long de la carrière de Brassens : la mort et les portraits de personnages solitaires (Pauvre Martin, le Vieux Léon, Bonhomme…).
Estimation 1 000 - 1 500 €
Vendu 13 650 € * Les résultats sont affichés frais acheteur et taxes compris. Ils sont générés automatiquement et peuvent subir des modifications.
Lot 219
BRASSENS (Georges) Manuscrit autographe pour la chanson Le Fossoyeur.
BRASSENS (Georges) Manuscrit autographe pour la chanson Le Fossoyeur. 3 strophes et deux lignes sur un f. pet. in-4, au verso d'une facture des spiritueux JAC
Manuscrit à l'encre verte pour la chanson le Fossoyeur, figurant sur le premier 33 tours de Brassens, la Mauvaise réputation, sorti 1953 ou 1954. Elle avait été gravée en 1953 sur le 78 tours publié par Plydor qui reçut le Grand Prix du disque 1954 décerné par l'Académie Charles-Cros. Sur la face B de ce même disque figure Le Parapluie, chanson qui fut utilisée par le cinéaste Jacques Becker, pour son film, Rue de l'Estrapade. Le document offre les deux premières strophes en version définitive, et une troisième non retenue (les strophes II et III sont numérotées) : " Et comm' je sifflotte un petit air / En faisant aux morts leur lit de terr' / On suppos' que je parviens / À prendre la mort comme ell' vient ". Il finit par l'esquisse d'une variante de ce couplet : " Tout en achevant les lits de terre / Je chante ". Des marques au crayon indiquent des césures au sein des vers. On trouve dans cette chanson deux thèmes qui courront tout au long de la carrière de Brassens : la mort et les portraits de personnages solitaires (Pauvre Martin, le Vieux Léon, Bonhomme…).
Estimation 1 000 - 1 500 €
Vendu 13 650 € * Les résultats sont affichés frais acheteur et taxes compris. Ils sont générés automatiquement et peuvent subir des modifications.